Burkina Faso : un pays en crise que le Dispensaire Trottoir et PARTAGE soutient

Burkina Faso : un pays en crises

Depuis plusieurs années, la situation au Burkina Faso ne fait que s’empirer et les populations les plus vulnérables sont les plus touchées. Le pays a rencontré, et rencontre encore aujourd’hui, de nombreuses difficultés liées au COVID-19, au coup d’État de janvier 2022, mais surtout aux différentes attaques terroristes.

Cette situation engendre des mouvements de population à l’intérieur du pays (déplacés internes), mais aussi une hausse des prix, notamment des denrées alimentaires, du carburant et des transports.

Le Dispensaire Trottoir doit agir pour venir en aide aux enfants les plus vulnérables

Les bénéficiaires du Dispensaire Trottoir sont directement impactés et pour un grand nombre d’entre eux avoir un repas quotidien n’est plus une certitude.

Ce sont les femmes et les enfants les premiers touchés par ces crises : déscolarisation, santé, malnutrition…

Les demandes de soutien auprès du Dispensaire Trottoir se multiplient, car les familles n’arrivent plus à joindre les deux bouts.

Le Dispensaire Trottoir va donc augmenter sa participation à la prise en charge des frais de scolarité du primaire et du secondaire et distribuer des kits alimentaires composés d’aliments de base.

Les bénéficiaires directs seront principalement des orphelins et des enfants en situation de grande précarité.

Le soutien de l’association PARTAGE

Face à cette situation, PARTAGE a décidé d’agir et de fournir une aide supplémentaire à son partenaire burkinabé. C’est sur le volet éducation que PARTAGE va accompagner le Dispensaire Trottoir en finançant une partie des inscriptions scolaires qui augmenteront à la prochaine rentrée de septembre 2022. Les familles subissent de plein fouet l’inflation. Il est indispensable de soutenir les enfants pour qu’ils puissent continuer d’aller à l’école.

Notre partenaire fait face à des demandes croissantes, c’est pourquoi il aura fallu prioriser les bénéficiaires que nous accompagnons : les enfants orphelins et les enfants atteints de VIH et les enfants en très grande vulnérabilité.

Plus d’infos :

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