Adhérer : être membre de PARTAGE

Nous avions élevé nos enfants, alors nous avons pensé que nous pourrions aider des enfants qui en avaient besoin. Au début j’ai pensé que la cotisation était obligatoire, alors je l’ai réglé. Puis j’ai compris que c’était un choix de l’adhérent de la payer ou non, et j’ai poursuivi ce règlement chaque année. Pour moi, cela représente un acte de civisme, une aide en plus aux enfants, car les cotisations permettent en grande partie de faire fonctionner l’association, la faire vivre et rémunérer les salariés engagés pour la cause des enfants. 

Chaque année, je verse mon parrainage et récolte des fonds grâce à des activités que je réalise au profit de Partage. En plus de cette contribution, je tiens à verser chaque année ma cotisation annuelle pour être adhérent de l’association. Je pense que les cotisations constituent des ressources indispensables à la bonne marche de l’association. Le règlement de sa cotisation donne le sentiment d’être membre à part entière de Partage et partenaire de ses projets.

J’ai été marraine à PARTAGE pendant plusieurs années, mais ma situation a évolué et je n’ai malheureusement pas pu poursuivre mon parrainage. J’ai été très satisfaite de la relation avec ma filleule et avec Partage pendant ces années, et j’ai donc voulu garder un lien avec l’association en restant membre. Cela me permet de garder le sentiment de faire quelque chose pour les enfants. Je suis membre de plusieurs associations, et même si je dois limiter mon soutien financier, le règlement de ma cotisation reste important pour moi car il marque l’adhésion aux actions et aux valeurs de ces associations que je soutiens. Même si je ne peux pas me déplacer pour les Assemblées Générales, j’y suis convoquée et je reçois toutes les informations sur l’association.

Parrain de l’association depuis 1980, j’ai tout de suite été également adhérent. Je ne trouve pas concevable d’être parrain et pas adhérent et inversement. Ce qui est important pour moi, c’est le soutien local. Avec Partage, je fais partie d’une association qui fait marcher les structures et qui les fait vivre. Le plus important dans cette démarche, c’est d’identifier et de sélectionner les bonnes associations et de les faire évoluer. Etre adhérent, c’est être sûr du sérieux et de la fiabilité de l’association locale que je soutiens et garantir que les fonds sont bien gérés.

Marraine de l’association Partage depuis 1987, j’ai trouvé comme un joli symbole, le fait de recevoir mon premier courrier du petit garçon que je parrainais en Inde au moment de Noël. Ce fut mon premier contact avec l’Association. Actuellement, je parraine une petite fille en Haïti. Je suis adhérente depuis le début car il me paraissait normal de soutenir l’association. Habitant trop loin de Paris, je n’ai pu me rendre à une assemblée générale. Par contre, chaque fois que je l’ai pu, j’ai voté pour l’approbation du rapport d’activité et de ce qui était demandé après avoir lu attentivement tout ce qui était envoyé.

Je pense que la rencontre de personnes toutes orientées vers le mieux-être d’enfants pénalisés dans leurs conditions sociales, familiales ou autres (situation économique et politique du pays) doit être enrichissante. De même que l’écoute d’intervenants impliqués dans ce processus. Pour moi il est important d’être à la fois marraine ET adhérente de l’association. C’est une façon de montrer mon accord avec les grandes lignes de l’association, de participer aux décisions. Et aussi, par ce geste, de contribuer modestement à la gestion du suivi des programmes qui n’est pas des moindres. Cette adhésion est aussi une façon de soutenir les projets de l’association.