Union des Comores
Sur l’île d’Anjouan, en Union des Comores, la région du Nyumakele est la plus densément peuplée de l’île mais aussi la plus pauvre. Pauvreté, éducation précaire, accès aux soins de santé de base difficiles… poussent hommes, femmes, enfants à s’exiler dans d’autres régions des Comores notamment vers Mayotte.
L’ÉDUCATION AUX COMORES
Aux Comores, l’éducation est précaire et le taux de scolarisation reste faible. A la suite des élections de 2006, l’école est devenue obligatoire et gratuite. Cependant, seulement la moitié des enfants ont une scolarité suivie et les conditions d’apprentissage sont vétustes (peu d’écoles disposent de latrine ou d’eau potable).
L’écart entre la scolarisation des filles et celle des garçons se creuse fortement. Notamment entre l’enseignement primaire et secondaire.
LA SANTÉ AUX COMORES
Dû à la vétusté des établissements médicaux et au manque de médecins, l’accès aux soins de base reste difficile. Faute d’accès à l’eau potable, des maladies se développent touchant principalement les enfants. Par ailleurs, 1 enfant sur 5 souffre de malnutrition sévère.
LES DROITS DES ENFANTS
L’environnement socio-économique et culturel difficile ne favorise pas l’épanouissement des enfants et leur passage à l’âge adulte dans de bonnes conditions. Dans les familles les plus pauvres, le travail des enfants dès le plus jeune âge est courant.
NOS PROGRAMMES AUX COMORES
MAEECHA
MAEECHA, partenaire comorien de Partage depuis 2008, travaille avec l’ensemble des acteurs de l’éducation (parents, enseignants, autorités locales…) pour améliorer la gestion de l’éducation dans le pays et promouvoir une éducation de qualité.
Union des Comores
Sur l’île d’Anjouan, en Union des Comores, la région du Nyumakele est la plus densément peuplée de l’île mais aussi la plus pauvre. Pauvreté, éducation précaire, accès aux soins de santé de base difficiles… poussent hommes, femmes, enfants à s’exiler dans d’autres régions des Comores notamment vers Mayotte.
L’ÉDUCATION AUX COMORES
Aux Comores, l’éducation est précaire et le taux de scolarisation reste faible. A la suite des élections de 2006, l’école est devenue obligatoire et gratuite. Cependant, seulement la moitié des enfants ont une scolarité suivie et les conditions d’apprentissage sont vétustes (peu d’écoles disposent de latrine ou d’eau potable).
L’écart entre la scolarisation des filles et celle des garçons se creuse fortement. Notamment entre l’enseignement primaire et secondaire.
LA SANTÉ AUX COMORES
Dû à la vétusté des établissements médicaux et au manque de médecins, l’accès aux soins de base reste difficile. Faute d’accès à l’eau potable, des maladies se développent touchant principalement les enfants. Par ailleurs, 1 enfant sur 5 souffre de malnutrition sévère.
LES DROITS DES ENFANTS
L’environnement socio-économique et culturel difficile ne favorise pas l’épanouissement des enfants et leur passage à l’âge adulte dans de bonnes conditions. Dans les familles les plus pauvres, le travail des enfants dès le plus jeune âge est courant.
NOS PROGRAMMES AUX COMORES
MAEECHA
MAEECHA, partenaire comorien de Partage depuis 2008, travaille avec l’ensemble des acteurs de l’éducation (parents, enseignants, autorités locales…) pour améliorer la gestion de l’éducation dans le pays et promouvoir une éducation de qualité.
Les Comores en bref
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Nom officiel : Union des Comores
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Superficie : 1 862 km²
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Capitale officielle : Moroni
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Langue officielle : Comorien, Français, Arabe
Données démographiques
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875 000 habitants
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IDH : 156/191
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Espérance de vie : 64 ans *
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42 % vit sous le seuil de pauvreté national, 20 % avec moins de 1,90 $ / jour
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Environ 53 % de la population a moins de 20 ans
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Taux d’accès au préscolaire en progression : 21,2 % en 2015 à 32,7 % en 2024
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Taux de scolarisation en primaire est de 82 %, au collège 50,2 % et au lycée 21,7 %
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* France Diplomatie – 2015/2016
**Classement 2016 de l’Indice de développement humain (IDH) publié par le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD)