Le cheminement pour entamer la démarche de faire un legs n’est pas toujours évident. Il s’agit d’une décision réfléchie, délicate et particulière. C’est pourquoi deux de nos bienfaiteurs, qui ont fait le choix respectivement de faire un legs et de souscrire une assurance-vie pour Partage, souhaitent vous faire connaître leurs motivations et peut-être convaincre d’autres personnes de concrétiser à leur tour ce merveilleux geste de solidarité.

Témoignage de M.L.

Je suis dans ma 75e année et je n’ai pas eu d’enfants. Mon mari rencontré tardivement avait 3 enfants ; sa fille, décédée en 2000, 2 enfants et 3 petits enfants que j’aime. Mon mari est décédé 9 mois après sa fille. Lors de la succession, les partages ont été faits. Les 2 enfants et moi-même avons un tiers en pleine propriété. Je suis donc libre de disposer de ce que je possède. Le testament permet de respecter les volontés du défunt et d’éviter les problèmes familiaux lors de la succession. Je suis marraine d’un enfant roumain depuis 2007. J’ai contacté la personne en charge des legs pour savoir si l’association Partage pouvait être légataire universel.

J’ai eu une réponse positive, j’ai donc rédigé un testament avec un exécuteur testamentaire et choisi Partage comme légataire universel. Ce testament est déposé chez le notaire. J’ai vu que Partage s’occupait de l’enfance blessée, défavorisée. Je fus à 3 ans et demi une petite fille violée par le beau-père de mon père. J’ai fait un long chemin de travail sur moi-même. Toute ma vie professionnelle, étant institutrice, je l’ai passée auprès des enfants. Ce travail m’a passionnée et aidée sans doute. Je continue de lire des histoires dans une école maternelle. C’est pourquoi, je désire qu’à mon décès, ce que j’ai serve à l’enfance blessée. Je poursuivrai ainsi ce que j’ai fait toute ma vie.

Témoignage de J. et Y. H. de Quimper

Nous avons décidé de parrainer 2 enfants : depuis 2004, une fillette du Tamil Nadu que nous avons vue deux fois. L’Assefa fait un travail gigantesque là-bas puisque le taux de scolarisation des filles est passé de 40 % en 2000 à plus de 90 % actuellement. Puis, depuis 2009, une petite au Vietnam à laquelle nous avons rendu visite également deux fois […] Nous communiquons très régulièrement avec nos filleules et suivons leur progression. Bien évidemment, nos visites ont eu un impact bénéfique sur leur motivation et leur désir d’apprendre et de progresser […] et ont fortifié notre engagement vis-à-vis de Partage. Mais le jour où il nous sera plus difficile de maintenir ces relations, avec ces enfants ou d’autres, est-ce une raison pour que notre aide s’arrête ? Non, et c’est la raison pour laquelle nous avons décidé de désigner Partage comme l’un de nos légataires privilégiés de nos contrats d’assurance-vie.

Ainsi, il y aura continuation de notre engagement actuel. C’est facile à faire et il n’y a pas à passer devant un notaire et à régler les frais d’enregistrement. Il suffit d’envoyer, par simple lettre, la modification de votre clause bénéficiaire à votre compagnie d’assurance et de désigner Partage comme l’un des bénéficiaires.

 

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Legs en faveur des enfants les plus démunis